Nos 4 conseils avant d’effectuer un test de paternité

9 Sep 2021 | Famille

 

Le doute est un sentiment inconfortable surtout si un enfant est concerné. À l’inverse de l’opinion de plusieurs individus qui sont lourds de jugement sur le sujet, il n’y a rien de mal à vouloir faire un test de paternité pour dissiper définitivement un doute. Toutefois, retracer les origines n’est pas une décision à prendre à la légère

Qu’est-ce qu’un test de paternité ?

Il s’agit d’un procédé génétique médical utilisé retracer les origines d’un enfant en d’autres termes, pour vérifier l’existence ou non d’une filiation entre un père et son enfant. Ce test est également connu sous le nom de test ADN, pour le réaliser il faut comparer l’ADN de l’enfant avec celui du père présumé. Il s’agit là d’une sorte de preuve génétique.  Le patrimoine génétique de l’enfant va montrer s’il a l’héritage génétique de sa paternelle  et si les marqueurs et caractéristiques génétiques sont les mêmes. Les résultats de l’examen génétique et des recherches doivent révéler une correspondance de 99% s’il s’agit du père biologique.

Comment et quand s’effectue un test de paternité ?

Ces prédispositions sont indispensables à savoir  si vous voulez demander des tests. Pour en savoir plus, ce site vous renseignera beaucoup plus, sur le test ADN.

Les moyens utilisés pour effectuer un test de paternité

Pour faire les tests ADN, il y a des prédispositions à prendre. Il faut savoir que pour ce type d’examen il faut un échantillon de l’ADN des deux personnes concernées. La plupart du temps, pour l’analyse ADN les instituts prélèvent des échantillons de salive et de poil, effectuent une prise de sang ou relevé des empreintes. L’échantillon d’ADN sert de test et sera ensuite envoyé dans un laboratoire de génétiques et les résultats du test vont révéler la vérité. Les anomalies génétiques, chromosomiques et héréditaires telles que : l’Alzheimer, la trisomie, le cancer, la maladie de Parkinson peuvent aussi prouver la filiation.

Quand faire un test de paternité

Concernant les tests, il y a deux moyens possibles pour le faire. Il y a tout d’abord le test de paternité prénatal ou embryonnaire, c’est-à-dire, pendant que l’enfant est encore dans l’utérus de la mère. Cette pratique est extrêmement recommandée pour identifier la ressemblance quant au profil génétique. Il faut à cet effet que le consentement de la mère soit explicite. Ensuite, il y a le test de paternité que l’on fait après la naissance de l’enfant. Ce test peut toujours être effectué même si l’enfant grandit et c’est d’ailleurs le plus courant et le plus utilisé. Les deux tests sont fiables dès lors que les échantillons sont correctement fournis.

Qui sont les personnes pouvant prendre part à un test de paternité ?

Les génomes sont des données génétiques qui passent de lignée en lignée, c’est-à-dire qu’ils remontent jusqu’aux ancêtres parce qu’il y a une trace génétique. De ce fait, pour déterminer l’ascendance d’un enfant au cas où le père ne peut pas fournir d’échantillons, l’ADN des grands-parents paternels ou d’une personne d’un même arbre généalogique peut être utilisé pour effectuer l’analyse ADN. Les individus testés doivent être des membres de la famille et avoir un lien de parenté avec la famille paternelle. La consultation génétique peut se passer de l’ADN maternel. En effet, lors des études génétiques, les chromosomes génomiques du père sont isolés et la vérification se fait uniquement sur les gènes du père.  L’enfant adulte peut remonter ses origines.

Nos conseils pour vous

Maintenant que vous en savez plus sur le test de paternité en général, avant de demander des tests :

  • Assurez-vous de trouver un bon laboratoire de génétique, équipé de matériel génétique capable de correctement faire les tests génétiques et doté d’une expertise ADN.
  • Pensez à vous procurer des kits de prélèvement qui conserveront parfaitement vos échantillons.
  • Assurez-vous d’avoir les moyens financiers pour consulter un généticien et ayez recours à la médecine génétique.
  • Assurez-vous d’avoir le consentement de la mère de l’enfant ou de son tuteur afin d’éviter tout potentiel souci juridique.

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A propos

Les chroniques d’une jeune femme (oui, 33 ans c’est jeune), maman, belle maman, amoureuse etc. Féministe dans l’âme et le corps. Je suis pour la paix, contre la guerre et sais faire coucou avec la main comme les Miss France.

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